Depuis plus de deux ans, le marché immobilier a connu une hausse sans précédente, et cela a permis de ruiner le pouvoir d’achat des ménages français. Suite aux études que nous avons menées récemment, nous avons pu constater que les surfaces achetés ont été réduit, et cette tendance est enregistrée dans la plupart des grandes villes, notamment dans les zones où la demande se fasse très bien ressentir. Ce phénomène tend à se généraliser un peu partout et entraîne par la suite un problème significatif en ce qui concerne le marché immobilier.
Baisse du pouvoir d’achat dans des zones bien distinctes
Les acheteurs immobiliers ne peuvent plus se permettre d’acheter des surfaces énormes, cela est actuellement très limité entre 9m² et 14m². Cette situation est enregistrée au cours des deux dernières années. Ainsi, avec une mensualité de 1 000 euros remboursable sur 20 ans, le pouvoir d’achat des propriétaires immobiliers a baissé de 14 m² dans la région bordelaise. Vous pouvez également rencontre le même problème à Nîmes et Rennes, avec une baisse allant respectivement de 13 m² et 11 m². Cela a conduit à la mise en berne d’un grand nombre d’acquisition immobilière.
Pour la région parisienne, cette perte est toutefois de 4 m² si pour Lyon, cela est allé jusqu’à 9 m². Le même cas est aussi enregistré à Marseille et à Montpellier. En revanche, d’autres villes ont enregistré une progression entre fin 2017 et fin 2018, c’est le cas notamment de Toulon (+3 m²), Le Mans (+19 m²), et Saint-Étienne (+2 m²). Pour certains acheteurs, le rachat de crédit est devenu la meilleure solution pour trouver un certain pouvoir d’achat afin de satisfaire l’acquisition immobilière. Cette pratique est devenue une tendance dans les zones où la baisse du pouvoir d’achat immobilier se fait ressentir. Cette solution semble être efficace, d’autant plus qu’il est possible de bénéficier de meilleures conditions de prêt (taux d’intérêt plus avantageux, faibles mensualités…) en faisant jouer la concurrence.
Une possible stabilisation des prix d’ici 2019
Malgré le fait que le prix de l’immobilier a connu une véritable valse des hausses des prix au cours de l’année 2017 et 2019, tout porte à croire que cette tendance se stabilisera en 2019 comme le prédit les professionnels de l’immobilier et les économistes. Effectivement, les prix ne cesseront de progresser dans les zones au potentiel économique important, mais les banques doivent maintenir les conditions d’octroi de prêt souple. Cette stratégie a déjà été adopté depuis deux ans, et cela doit continuer dans ce sens si elles envisagent d’attirer de nouveaux clients. Grâce à cette pratique, les emprunteurs peuvent espérer profiter de taux d’intérêt bas (inférieur à 2 %) et d’une rallonge de la durée du crédit immobilier (jusqu’à 25 ans), du moins pour le premier semestre de cette année.
Rachat de crédit, taux d’intérêt au plus bas, mensualités allégées, tout cela contribuera à maintenir le pouvoir d’achat immobilier des Français qui rêvent de venir propriétaire immobilier et cela malgré la crise économique et sociale qu’on vit actuellement.
